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2020-08-11 09:52:10 UTC
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la Science, Paris, 1999, p. 112: "De plus, si l'on admet que la lumière est constituée de particules, comme Einstein l'avait suggéré dans son premier article, 13 semaines plus tôt, le second principe parait absurde: une pierre jetée d'un train qui roule très vite fait bien plus de dégâts que si on la jette d'un train a l'arrêt. Or, d'après Einstein, la vitesse d'une certaine particule ne serait pas indépendante du mouvement du corps qui l'émet! Si nous considérons que la lumière est composée de particules qui obéissent aux lois de Newton, ces particules se conformeront à la relativité newtonienne. Dans ce cas, il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Einstein, comme nous l'avons vu, résista cependant à la tentation d'expliquer ces échecs à l'aide des idées newtoniennes, simples et familières. Il introduisit son second postulat, plus ou moins évident lorsqu'on pensait en termes d'ondes dans l'éther." https://www.decitre.fr/livres/la-relativite-9782842450199.html
Donc, si l'on assume que la vitesse de la lumière varie avec la vitesse de la source lumineuse, comme stipulé par la théorie newtonienne, "il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley". Mais si l'on assume que la vitesse de la lumière est indépendente de celle de la source, il EST nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Quelle est la conclusion?
L'idéologie einsteinienne interdit aux physiciens de tirer la conclusion dans ce cas, et même d'en penser. L'arrêtducrime est absolu:
"L'arrêtducrime, c'est la faculté de s'arrêter net, comme par instinct, au seuil d'une pensée dangereuse. Il inclut le pouvoir de ne pas saisir les analogies, de ne pas percevoir les erreurs de logique, de ne pas comprendre les arguments les plus simples, s'ils sont contre l'Angsoc. Il comprend aussi le pouvoir d'éprouver de l'ennui ou du dégoût pour toute suite d'idées capable de mener dans une direction hérétique. Arrêtducrime, en résumé, signifie stupidité protectrice." https://www.librairal.org/wiki/George_Orwell:1984_-_Deuxi%C3%A8me_Partie_-_Chapitre_IX
Voir plus ici : https://twitter.com/pentcho_valev
Pentcho Valev
Donc, si l'on assume que la vitesse de la lumière varie avec la vitesse de la source lumineuse, comme stipulé par la théorie newtonienne, "il n'est pas nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley". Mais si l'on assume que la vitesse de la lumière est indépendente de celle de la source, il EST nécessaire de recourir à la contraction des longueurs, au temps local ou à la transformation de Lorentz pour expliquer l'échec de l'expérience de Michelson-Morley. Quelle est la conclusion?
L'idéologie einsteinienne interdit aux physiciens de tirer la conclusion dans ce cas, et même d'en penser. L'arrêtducrime est absolu:
"L'arrêtducrime, c'est la faculté de s'arrêter net, comme par instinct, au seuil d'une pensée dangereuse. Il inclut le pouvoir de ne pas saisir les analogies, de ne pas percevoir les erreurs de logique, de ne pas comprendre les arguments les plus simples, s'ils sont contre l'Angsoc. Il comprend aussi le pouvoir d'éprouver de l'ennui ou du dégoût pour toute suite d'idées capable de mener dans une direction hérétique. Arrêtducrime, en résumé, signifie stupidité protectrice." https://www.librairal.org/wiki/George_Orwell:1984_-_Deuxi%C3%A8me_Partie_-_Chapitre_IX
Voir plus ici : https://twitter.com/pentcho_valev
Pentcho Valev