E
2007-04-18 07:58:50 UTC
travailler plus pour produire encore plus de richesses ?
le culte du travail -tu gagneras ta vie à la sueur de ton front- c'est
curieux comme philosophie .
encore plus de richesses ?
Couvrir la France de pavillons, d'aeroports, d'automobiles, d'autoroutes, de
lignes haute tension, de voies tgv, de centrales, d'epr, d'éoliennes, de
monocultures transgéniques désinfectées, dératisées, désinsectisées, de
forêts d'épicéa alignées, de marinas, de grands surfaces, et de zones
industrielles, de ponts et chaussées, ...
bref, une terre littéralement artificielle, et quand elle est un peu
sauvage, laisser les motos cross, les quads, les chasseurs, les 4/4 faire
leur rodéos .
travailler plus , les gens sont toujours disposés . mais vers où les
mène -t-on ?
on les remplace par des machines, on les fait produire les machines, pour
produire encore plus .
la surenchère productiviste nous mène à quoi ?
à ravager forcément le mileu naturel ; à épuiser les hommes aussi, du fait
que les travaux devienent de plus en plus hors nature , mécanisés . il ne
peut en être autrement . le corps ne peut se dénaturer sans conséquences .
les effets sont les maux de dos , les cancers, les folies . ou le
désoeuvrement , le desespoir .
mais la médecine veille .
hop, un anti inflammatoire et au boulot .
une prothèse par ci, une greffe par là .
merci les sages .
le culte du travail -tu gagneras ta vie à la sueur de ton front- c'est
curieux comme philosophie .
encore plus de richesses ?
Couvrir la France de pavillons, d'aeroports, d'automobiles, d'autoroutes, de
lignes haute tension, de voies tgv, de centrales, d'epr, d'éoliennes, de
monocultures transgéniques désinfectées, dératisées, désinsectisées, de
forêts d'épicéa alignées, de marinas, de grands surfaces, et de zones
industrielles, de ponts et chaussées, ...
bref, une terre littéralement artificielle, et quand elle est un peu
sauvage, laisser les motos cross, les quads, les chasseurs, les 4/4 faire
leur rodéos .
travailler plus , les gens sont toujours disposés . mais vers où les
mène -t-on ?
on les remplace par des machines, on les fait produire les machines, pour
produire encore plus .
la surenchère productiviste nous mène à quoi ?
à ravager forcément le mileu naturel ; à épuiser les hommes aussi, du fait
que les travaux devienent de plus en plus hors nature , mécanisés . il ne
peut en être autrement . le corps ne peut se dénaturer sans conséquences .
les effets sont les maux de dos , les cancers, les folies . ou le
désoeuvrement , le desespoir .
mais la médecine veille .
hop, un anti inflammatoire et au boulot .
une prothèse par ci, une greffe par là .
merci les sages .