Discussion:
LE PHOTON DIT-IL BONJOUR AU CHAMP DE GRAVITATION?
(trop ancien pour répondre)
Pentcho Valev
2011-04-08 07:21:46 UTC
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http://www.mefeedia.com/watch/36345447
Etienne Klein: "Le photon est un être mal poli qui ne dit bonjour à
personne, qui n'est pas couplé au champ de Higgs et qui n'a pas de
masse."

http://ustl1.univ-lille1.fr/culture/publication/lna/detail/lna38/pgs/7_8.pdf
Gilles COHEN-TANNOUDJI: "Pour rendre compatibles le principe de
relativité, selon lequel les lois de la nature s'expriment de la même
façon dans des référentiels inertiels en mouvement relatif rectiligne
et uniforme, et le principe d'invariabilité de la vitesse de la
lumière, Einstein a dû procéder à une véritable refondation de la
mécanique, remettant en cause la conception de la matière, de l'espace
et du temps. Cest maintenant l'énergie et non la masse qui joue le
rôle de caractéristique la plus fondamentale de la matière : la
lumière est une matière, mais c'est une matière qui a de l'énergie
sans avoir de masse."

http://iramis.cea.fr/Phocea/file.php?class=ast&file=file_748_0_.pdf
Etienne Klein: "Souvent, le public se pose la question de savoir
comment des particules sans masse, tel le photon, peuvent exister.
(...) La théorie de la relativité rend cette existence possible, en
attribuant une énergie y compris aux particules sans masse. Seulement,
de tels objets ne peuvent pas connaître le repos. En effet, s'ils
étaient immobiles, leur inertie serait nulle et ils pourraient être
accélérés instantanément jusqu'à la vitesse limite, cest-à-dire
jusqu'à la vitesse de la lumière. Ce paradoxe disparaît si l'on admet
que de tels objets se déplacent toujours à la vitesse limite : ils ne
peuvent alors être ni accélérés ni ralentis, mais ils peuvent gagner
ou perdre de l'énergie sans que cela affecte leur vitesse."

Gilles Cohen-Tannoudji et Etienne Klein, peut-être le photon dit-il
bounjour au champ de gravitation? Est-ce qu'il y a une accélération
des photons dans un champ de gravitation? Est-ce que les photons et
les boulets de canon subissent la même accélération?

http://www.aredam.net/einstein_plagiaire.pdf
pp. 33-34: "Dans un article de juin 1911, Einstein reprit les idées de
son article de 1907, qui découlaient de l'hypothèse de Planck sur la
pesanteur de l'énergie. Mais cette fois il abandonna la relativité
"habituelle", d'autant plus facilement qu'il n'en était pas l'auteur,
en renonçant explicitement au principe de la constance de la vitesse
de la lumière. Et cet abandon lui permit de calculer la courbure d'un
rayon lumineux dans un champ de gravitation, qu'il estima à 0,85 d'arc
pour un rayon rasant le soleil, en appliquant le principe de Huygens,
du mathématicien et physicien Christiaan Huygens (1629-1695), valable
dans les milieux d'indices de réfraction variables. Ce résultat avait,
en fait, déjà été établi par l'astronome allemand Soldner en 1803, en
partant de la théorie de l'émission de la lumière de Newton."

http://www.arte.tv/fr/La-relativite-a-l-epreuve/856858.html
Jean Eisenstaedt: "Michell est persuadé de l'universalité de la
gravitation et que la lumière doit, comme tout autre corpuscule, y
être soumise. Il en déduit, en cette fin du XVIIIe siècle, qu'un
corpuscule lumineux, émis par une étoile animée d'une vitesse
constante, va être petit à petit freiné et sa vitesse diminuée. À tel
point que, si l'étoile est très massive, le corpuscule, telle une
pierre jetée en l'air, peut s'arrêter dans sa course et retomber sur
l'étoile. Aussi invente-t-il ces objets étranges que Pierre-Simon
Laplace nommera «corps obscurs» (car leur lumière ne peut nous en
parvenir) et qui s'apparentent aux trous noirs. En 1801, s'appuyant
sur ces résultats vulgarisés par Laplace, l'astronome allemand Georg
von Soldner en déduira qu'un rayon lumineux peut être dévié de sa
course s'il passe près d'un corps pesant. Ses résultats ne sont
aucunement différents de ceux d'Einstein, qui calculera le même effet
en 1911."

http://www.decitre.fr/livres/La-relativite.aspx/9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la
Science, Paris, 1999, pp. 166-169: "L'observateur au plafond
constatera que l'horloge du plancher fonctionne plus lentement que
celle du plafond. Et pourtant les deux horloges continuent à
fonctionner au même rythme. (.....) Le décalage gravitationnel des
fréquences n'est pas la conséquence d'un changement du rythme
intrinseque des horloges. Ce décalage resulte de L'EFFET DU CHAMP
GRAVITATIONNEL SUR LES SIGNAUX LUMINEUX qui se propagent dans l'espace-
temps. (...) Einstein fut sans aucun doute troublé par cette
conséquence de L'EFFET DE LA GRAVITATION SUR LA VITESSE DE LA LUMIERE,
mais il décida d'en tirer profit. Il déclara tout simplement que la
vitesse de la lumière jouait alors le rôle de ce que l'on appelle le
potentiel gravitationnel - un simple nombre en chaque point qui, dans
la théorie de Newton, spécifie l'intensité des forces
gravitationnelles dans tout l'espace."

http://www.physlink.com/Education/AskExperts/ae13.cfm
"So, it is absolutely true that the speed of light is not constant in
a gravitational field [which, by the equivalence principle, applies as
well to accelerating (non-inertial) frames of reference]. If this were
not so, there would be no bending of light by the gravitational field
of stars....Indeed, this is exactly how Einstein did the calculation
in: 'On the Influence of Gravitation on the Propagation of Light,'
Annalen der Physik, 35, 1911. which predated the full formal
development of general relativity by about four years. This paper is
widely available in English. You can find a copy beginning on page 99
of the Dover book 'The Principle of Relativity.' You will find in
section 3 of that paper, Einstein's derivation of the (variable) speed
of light in a gravitational potential, eqn (3). The result is,
c' = c0 ( 1 + V / c^2 )
where V is the gravitational potential relative to the point where the
speed of light c0 is measured."

http://www.mathpages.com/rr/s6-01/6-01.htm
"In geometrical units we define c_0 = 1, so Einstein's 1911 formula
can be written simply as c=1+phi. However, this formula for the speed
of light (not to mention this whole approach to gravity) turned out to
be incorrect, as Einstein realized during the years leading up to 1915
and the completion of the general theory. In fact, the general theory
of relativity doesn't give any equation for the speed of light at a
particular location, because the effect of gravity cannot be
represented by a simple scalar field of c values. Instead, the "speed
of light" at a each point depends on the direction of the light ray
through that point, as well as on the choice of coordinate systems, so
we can't generally talk about the value of c at a given point in a non-
vanishing gravitational field. However, if we consider just radial
light rays near a spherically symmetrical (and non- rotating) mass,
and if we agree to use a specific set of coordinates, namely those in
which the metric coefficients are independent of t, then we can read a
formula analogous to Einstein's 1911 formula directly from the
Schwarzschild metric. (...) In the Newtonian limit the classical
gravitational potential at a distance r from mass m is phi=-m/r, so if
we let c_r = dr/dt denote the radial speed of light in Schwarzschild
coordinates, we have c_r =1+2phi, which corresponds to Einstein's 1911
equation, except that we have a factor of 2 instead of 1 on the
potential term."

http://www.speed-light.info/speed_of_light_variable.htm
"Einstein wrote this paper in 1911 in German (download from:
http://www.physik.uni-augsburg.de/annalen/history/einstein-papers/1911_35_898-908.pdf
). It predated the full formal development of general relativity by
about four years. You can find an English translation of this paper in
the Dover book 'The Principle of Relativity' beginning on page 99; you
will find in section 3 of that paper Einstein's derivation of the
variable speed of light in a gravitational potential, eqn (3). The
result is: c'=c0(1+phi/c^2) where phi is the gravitational potential
relative to the point where the speed of light co is measured......You
can find a more sophisticated derivation later by Einstein (1955) from
the full theory of general relativity in the weak field
approximation....For the 1955 results but not in coordinates see page
93, eqn (6.28): c(r)=[1+2phi(r)/c^2]c. Namely the 1955 approximation
shows a variation in km/sec twice as much as first predicted in
1911."

George Orwell explique pourquoi Gilles Cohen-Tannoudji et Etienne
Klein ne répondront jamais:

http://wikilivres.info/wiki/1984/Deuxi%C3%A8me_Partie_-_Chapitre_IX
George Orwell: "L'arrêtducrime, c'est la faculté de s'arrêter net,
comme par instinct, au seuil d'une pensée dangereuse. Il inclut le
pouvoir de ne pas saisir les analogies, de ne pas percevoir les
erreurs de logique, de ne pas comprendre les arguments les plus
simples, s'ils sont contre l'Angsoc. Il comprend aussi le pouvoir
d'éprouver de l'ennui ou du dégoût pour toute suite d'idées capable de
mener dans une direction hérétique. Arrêtducrime, en résumé, signifie
stupidité protectrice."

Pentcho Valev
***@yahoo.com
Pentcho Valev
2011-04-08 11:27:30 UTC
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http://www.univ-orleans.fr/amp/documents/article%20le%20monde%20Einstein.pdf
Jean Eisenstaedt: "A la fin du XVIIIe siècle, une conception classique
des corps en mouvement avait été proposée et aussitôt délaissée. Elle
consistait à traiter, en théorie de Newton, les corpuscules lumineux
de la même manière que les particules matérielles. Bien que la vitesse
de la lumière y soit variable, cette conception offre des résultats
étonnants, nombreux et qualitativement proches de ceux d'Einstein."

Les résultats d'Einstein étaient corrects et ceux de la théorie de
l'émission de Newton presque corrects? Qu'est-ce que "qualitativement
proches" veut dire? Jean Eisenstaedt?

Pentcho Valev
***@yahoo.com
Pentcho Valev
2011-04-09 07:09:29 UTC
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http://o.castera.free.fr/pdf/Chronogeometrie.pdf
Jean-Marc Lévy-Leblond "De la relativité à la chronogéométrie ou: Pour
en finir avec le "second postulat" et autres fossiles": "D'autre part,
nous savons aujourd'hui que l'invariance de la vitesse de la lumière
est une conséquence de la nullité de la masse du photon. Mais,
empiriquement, cette masse, aussi faible soit son actuelle borne
supérieure expérimentale, ne peut et ne pourra jamais être considérée
avec certitude comme rigoureusement nulle. Il se pourrait même que de
futures mesures mettent enévidence une masse infime, mais non-nulle,
du photon ; la lumière alors n'irait plus à la "vitesse de la
lumière", ou, plus précisément, la vitesse de la lumière, désormais
variable, ne s'identifierait plus à la vitesse limite invariante. Les
procédures opérationnelles mises en jeu par le "second postulat"
deviendraient caduques ipso facto. La théorie elle-même en serait-elle
invalidée ? Heureusement, il nen est rien ; mais, pour sen assurer, il
convient de la refonder sur des bases plus solides, et dailleurs plus
économiques. En vérité, le premier postulat suffit, à la condition de
lexploiter à fond."

Wolfgang Pauli, "Physique Moderne et Philosophie", Editions Albin
Michel, 1999, pp. 20-21: "Qu'est-ce que la matière? Le papier sur
lequel j'écris, c'est de la matière, l'air aussi, c'est encore de la
matière; mais la lumière elle-même est aujourd'hui devenue matière, du
fait des découvertes d'Einstein. Elle a une masse et aussi un poids;
possédant énergie et mouvement, ELLE NE SE DISTINGUE PAS DE LA MATIERE
ORDINAIRE."

Est-ce qu'il y a une accélération des photons dans un champ de
gravitation? Est-ce que les photons et les boulets de canon subissent
la même accélération? Jean-Marc Lévy-Leblond?

Pentcho Valev
***@yahoo.com
Pentcho Valev
2011-04-10 06:26:20 UTC
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http://bernardschaeffer.canalblog.com/archives/2010/06/21/8512191.html
Bernard Schaeffer: "Einstein nous apprend aussi que la lumière est
constituée de photons d'énergie E=hv, donc de masse m=hv/c^2. Les
théoriciens "modernes" prétendent qu'un photon n'a pas de masse (sous-
entendu "au repos", un non-sens puisqu'on ne peut immobiliser un rayon
lumineux). C'est en contradiction avec la relativité générale où la
lumière est déviée par les étoiles."

http://obswww.unige.ch/Questions_Reponses/R167.html
Question: "A l'école j'ai appris en physique que la lumière ne possède
aucune masse. OK pas de problème. Mais pourquoi diable est-elle
sensible à la gravitation ? Si elle ne peut s'échapper d'un trou noir
et si les effets de lentilles gravitationnelles existent, c'est
qu'elle doit posséder une masse, si infime soit-elle, non ?"
Réponse: "Le principe d'équivalence masse-énergie bien connu, exprimé
par la célèbre équation E = m c^2, nous dit qu'à toute énergie
correspond une masse. Ainsi, le photon ayant une énergie, qui est
proportionnelle à sa fréquence, il possède donc une masse, ce qui
explique sa sensibilité à la gravitation." Cette réponse a été
préparée par ***@obs.unige.ch

Donc, le photon dit-il bounjour au champ de gravitation? Est-ce qu'il
y a une accélération des photons dans un champ de gravitation? Est-ce
que les photons et les boulets de canon subissent la même
accélération? Jean Eisenstaedt? Jean Marc Lévy-Leblond? Thibault
Damour? Etienne Klein? Les deux Cohen-Tannoudji? Michel Paty? Olivier
Darrigol? Marc Lachièze-Ray? Jean Michel Alimi? Françoise Balibar?
Michel Bitbol? Alain Aspect? Roger Balian? Alexandre Moatti? Alexandre
Afriat? Alexis de Saint-Ours? Elie During? Jean-Pierre Luminet? On ne
le préciserait jamais en France? Le problème n'existe pas? N'a jamais
existé? Un nonproblème?

http://wikilivres.info/wiki/1984/Premi%C3%A8re_Partie/Chapitre_IV
George Owell: "Withers, cependant, était déjà un nonêtre. Il
n'existait pas, il n'avait jamais existé."

Pentcho Valev
***@yahoo.com
Pentcho Valev
2011-04-11 05:49:21 UTC
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On sait, on enseigne, on apprend, on répète, parfois on chante que le
décalage gravitationnel des fréquences est une conséquence du
ralentissement des horloges dans un champ de gravitation:

http://www-cosmosaf.iap.fr/RELATIVIT%C3%89%20par%20DAMOUR%20Thibault.htm
Thibault Damour: "Décalage vers le rouge ou dilatation
gravitationnelle des durées. (....) D'un point de vue plus général,
puisque la fréquence d'une raie spectrale définit une "horloge" à
l'échelle atomique, le principe d'équivalence prédit l'existence d'une
dilatation gravitationnelle des durées lors de la comparaison de deux
horloges situées à des niveaux de potentiel gravitationnel
différents."

http://www.liberation.fr/sciences/010971203-la-quete-des-temps
Etienne Klein: "Mais pour la relativité générale dEinstein, l'espace
et le temps sont déformés par les objets qu'ils contiennent. Ainsi le
temps ne s'écoule pas de la même façon au voisinage d'une étoile très
dense qu'à proximité d'une planète."

http://student.fizika.org/~jsisko/Knjige/Klasicna%20Mehanika/David%20Morin/CH13.PDF
David Morin: "The equivalence principle has a striking consequence
concerning the behavior of clocks in a gravitational field. It implies
that higher clocks run faster than lower clocks. If you put a watch on
top of a tower, and then stand on the ground, you will see the watch
on the tower tick faster than an identical watch on your wrist. When
you take the watch down and compare it to the one on your wrist, it
will show more time elapsed."

Or Banesh Hoffmann, l'apôtre d'Einsteiniana, dit autre chose: "Le
décalage gravitationnel des fréquences n'est pas la conséquence d'un
changement du rythme intrinseque des horloges. Ce décalage resulte de
L'EFFET DU CHAMP GRAVITATIONNEL SUR LES SIGNAUX LUMINEUX qui se
propagent dans l'espace-temps":

http://www.decitre.fr/livres/La-relativite.aspx/9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la
Science, Paris, 1999, pp. 166-169: "L'observateur au plafond
constatera que l'horloge du plancher fonctionne plus lentement que
celle du plafond. Et pourtant les deux horloges continuent à
fonctionner au même rythme. (.....) Le décalage gravitationnel des
fréquences n'est pas la conséquence d'un changement du rythme
intrinseque des horloges. Ce décalage resulte de L'EFFET DU CHAMP
GRAVITATIONNEL SUR LES SIGNAUX LUMINEUX qui se propagent dans l'espace-
temps. (...) Einstein fut sans aucun doute troublé par cette
conséquence de L'EFFET DE LA GRAVITATION SUR LA VITESSE DE LA LUMIERE,
mais il décida d'en tirer profit. Il déclara tout simplement que la
vitesse de la lumière jouait alors le rôle de ce que l'on appelle le
potentiel gravitationnel - un simple nombre en chaque point qui, dans
la théorie de Newton, spécifie l'intensité des forces
gravitationnelles dans tout l'espace."

Quel est cet "EFFET DU CHAMP GRAVITATIONNEL SUR LES SIGNAUX LUMINEUX
qui se propagent dans l'espace-temps"? Jean Eisenstaedt? Jean Marc
Lévy-Leblond? Thibault Damour? Etienne Klein? Les deux Cohen-
Tannoudji? Michel Paty? Olivier Darrigol? Marc Lachièze-Ray? Jean
Michel Alimi? Françoise Balibar? Michel Bitbol? Alain Aspect? Roger
Balian? Alexandre Moatti? Alexandre Afriat? Alexis de Saint-Ours? Elie
During? Jean-Pierre Luminet? Le champ de gravitation accélère les
photons? C'est ça l'EFFET DU CHAMP GRAVITATIONNEL SUR LES SIGNAUX
LUMINEUX qui se propagent dans l'espace-temps? Est-ce que cette
accélération est identique à l'accélération que subissent les boulets
de canon? Si oui, quelles sont les implications? La théorie de
l'émission de Newton est vraie après tout? Une discussion en France?
Non? Jamais? Pourquoi? Le problème n'existe pas? N'a jamais existé? Un
nonproblème?

http://wikilivres.info/wiki/1984/Premi%C3%A8re_Partie/Chapitre_IV
George Owell: "Withers, cependant, était déjà un nonêtre. Il
n'existait pas, il n'avait jamais existé."

Pentcho Valev
***@yahoo.com
Pentcho Valev
2011-04-12 06:56:33 UTC
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http://www.passiondulivre.com/livre-6446-avant-einstein-relativite-lumiere-gravitation.htm
"Étrangement, personne n'est jamais vraiment allé voir ce que l'on en
pensait «avant», avant Einstein, avant Poincaré, avant Maxwell.
Pourtant, quelques savants austères et ignorés, John Michell, Robert
Blair et d'autres encore, s'y sont intéressés, de très près.
Newtoniens impénitents, ces «philosophes de la nature» ont tout
simplement traité la lumière comme faite de vulgaires particules
matérielles : des «corpuscules lumineux». Mais ce sont gens sérieux et
ils se sont basés sur leurs Classiques, Galilée, Newton et ses
Principia où déjà l'on trouve des idées intéressantes. À la fin du
XVIIIe siècle, au siècle des Lumières (si bien nommé en
l'occurrence !), en Angleterre, en Écosse, en Prusse et même à Paris,
une véritable balistique de la lumière sous-tend silencieusement la
théorie de l'émission, avatar de la théorie corpusculaire de la
lumière de Newton. Lus à la lumière (!) des théories aujourd'hui
acceptées, les résultats ne sont pas minces. (...) Les «relativités»
d'Einstein, cinématique einsteinienne et théorie de la gravitation,
ont la triste réputation d'être difficiles... Ne remettent-elles pas
en cause des notions familières ? Leur «refonte» est d'autant plus
nécessaire. Cette préhistoire en est un nouvel acte qui offre un autre
chemin vers ces théories délicates. Mais ce chemin, aussi long soit-
il, est un raccourci, qu'il est temps, cent ans après «la» relativité
d'Einstein, de découvrir et d'explorer."

http://www.larecherche.fr/content/recherche/article?id=10745
Jean-Marc Lévy-Leblond: "Un siècle après son émergence, la théorie de
la relativité est encore bien mal comprise - et pas seulement par les
profanes ! Le vocable même qui la désigne (« relativité ») est fort
inadéquat. Ses énoncés courants abondent en maladresses sémantiques,
et donc en confusions épistémologiques. Paradoxe majeur, cette
théorie, présentée comme un sommet de la modernité scientifique, garde
de nombreux traits primitifs. Or, de récentes recherches montrent
éloquemment qu'un sérieux approfondissement de ses concepts et de ses
formulations peut résulter du retour à ses origines, avant même
Einstein. Déjà le principe de relativité se comprend mieux si on le
détache de la forme nouvelle qu'il prit après Lorentz, Poincaré et
Einstein, pour le ressourcer chez Galilée et Descartes. Mais surtout,
l'examen de nombreux travaux des XVIIe et XVIIIe siècles, injustement
oubliés, met en évidence une théorie particulaire de la lumière, en
germe dans la physique newtonienne, qui ouvre des voies d'approche
négligées vers la théorie moderne. Ces considérations contrebalancent
utilement le point de vue ondulatoire traditionnel, et allègent ses
difficultés."

http://ustl1.univ-lille1.fr/culture/publication/lna/detail/lna40/pgs/4_5.pdf
Jean Eisenstaedt: "...il n'y a pas de raison, dans le cadre de la
logique des Principia de Newton, pour que la lumière se comporte
autrement - quant à sa trajectoire - qu'une particule matérielle. Il
n'y a pas non plus de raison pour que la lumière ne soit pas sensible
à la gravitation. Bref, pourquoi ne pas appliquer à la lumière toute
la théorie newtonienne ? (...) Pourtant, au plan des structures
physiques, l'optique relativiste des corps en mouvement de cette fin
du XVIIIème est infiniment plus intéressante - et plus utile
pédagogiquement - que le long cheminement qu'a imposé l'éther."

Jean Eisenstaedt, la théorie newtonienne appliquée à la lumière est
"infiniment plus intéressante", "plus utile pédagogiquement" et en
même temps... interdite en France?!? N'est pas interdite? A part vous,
Jean-Marc Lévy-Leblond, Michel Paty et l'éditeur de votre livre,
personne ne l'a jamais mentionnée. Une censure interne très forte.
George Orwell l'appelle "arrêtducrime":

http://wikilivres.info/wiki/1984/Deuxi%C3%A8me_Partie_-_Chapitre_IX
George Orwell: "L'arrêtducrime, c'est la faculté de s'arrêter net,
comme par instinct, au seuil d'une pensée dangereuse. Il inclut le
pouvoir de ne pas saisir les analogies, de ne pas percevoir les
erreurs de logique, de ne pas comprendre les arguments les plus
simples, s'ils sont contre l'Angsoc. Il comprend aussi le pouvoir
d'éprouver de l'ennui ou du dégoût pour toute suite d'idées capable de
mener dans une direction hérétique. Arrêtducrime, en résumé, signifie
stupidité protectrice."

Pentcho Valev
***@yahoo.com
Pentcho Valev
2011-04-14 07:20:35 UTC
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http://membres.multimania.fr/juvastro/calculs/einstein.pdf
"Le principe d'équivalence, un des fondements de base de la relativité
générale prédit que dans un champ gravitationnel, la lumière tombe
comme tout corps matériel selon l'acceleration de la pesanteur."

Les implications? Jean Eisenstaedt? Jean Marc Lévy-Leblond? Thibault
Damour? Etienne Klein? Les deux Cohen-Tannoudji? Michel Paty? Olivier
Darrigol? Marc Lachièze-Ray? Jean Michel Alimi? Françoise Balibar?
Michel Bitbol? Alain Aspect? Roger Balian? Alexandre Moatti? Alexandre
Afriat? Alexis de Saint-Ours? Elie During? Jean-Pierre Luminet? La
théorie de l'émission de Newton est fausse, toujours fausse, très
fausse, absolument fausse? Une autre implication? La vitesse de la
lumière dans un champ de gravitation est constante, toujours
constante, très constante, absolument constante? Une autre
implication? Aucune? On en discutera en France? Non? Jamais? Pourquoi?

Pentcho Valev
***@yahoo.com
Pentcho Valev
2011-05-15 08:15:41 UTC
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Post by Pentcho Valev
http://membres.multimania.fr/juvastro/calculs/einstein.pdf
"Le principe d'équivalence, un des fondements de base de la relativité
générale prédit que dans un champ gravitationnel, la lumière tombe
comme tout corps matériel selon l'acceleration de la pesanteur."
Les implications? Jean Eisenstaedt? Jean Marc Lévy-Leblond? Thibault
Damour? Etienne Klein? Les deux Cohen-Tannoudji? Michel Paty? Olivier
Darrigol? Marc Lachièze-Ray? Jean Michel Alimi? Françoise Balibar?
Michel Bitbol? Alain Aspect? Roger Balian? Alexandre Moatti? Alexandre
Afriat? Alexis de Saint-Ours? Elie During? Jean-Pierre Luminet? La
théorie de l'émission de Newton est fausse, toujours fausse, très
fausse, absolument fausse? Une autre implication? La vitesse de la
lumière dans un champ de gravitation est constante, toujours
constante, très constante, absolument constante? Une autre
implication? Aucune? On en discutera en France? Non? Jamais? Pourquoi?
http://adsabs.harvard.edu/abs/1994IJMPD...3..179E
Light and Gravitation: about MICHELL'S Theory
Eisenstaedt, Jean
International Journal of Modern Physics D, Volume 3, Issue 01, pp.
179-180 (1994).
"Through the reception of Michell's theory on the influence of
gravitation on the propagation of light, I shortly review the main
developments on the subject. It appears that Einstein was aware of the
idea of the bending of light in a Newtonian context."

Les implications, Jean Eisenstaedt? La vitesse de la lumière dans un
champ de gravitation? Constante? Variable? Quel est le rapport avec le
principe de la constance de la vitesse de la lumière avancé par
Einstein en 1905? On en discutera en France? Non? Jamais? Pourquoi?

Pentcho Valev
***@yahoo.com
Pentcho Valev
2011-05-16 05:31:02 UTC
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http://www.arte.tv/fr/La-relativite-a-l-epreuve/856858.html
Jean Eisenstaedt: "Michell est persuadé de l'universalité de la
gravitation et que la lumière doit, comme tout autre corpuscule, y
être soumise. Il en déduit, en cette fin du XVIIIe siècle, qu'un
corpuscule lumineux, émis par une étoile animée d'une vitesse
constante, va être petit à petit freiné et sa vitesse diminuée. À tel
point que, si l'étoile est très massive, le corpuscule, telle une
pierre jetée en l'air, peut s'arrêter dans sa course et retomber sur
l'étoile. Aussi invente-t-il ces objets étranges que Pierre-Simon
Laplace nommera «corps obscurs» (car leur lumière ne peut nous en
parvenir) et qui s'apparentent aux trous noirs. En 1801, s'appuyant
sur ces résultats vulgarisés par Laplace, l'astronome allemand Georg
von Soldner en déduira qu'un rayon lumineux peut être dévié de sa
course s'il passe près d'un corps pesant. Ses résultats ne sont
aucunement différents de ceux d'Einstein, qui calculera le même effet
en 1911."

Jean Eisenstaedt, est-ce que les photons subissent l'accélération "g"
que tout objet matériel (un boulet de canon par exemple) subit dans le
champ gravitationnel terrestre? Si oui, quelles sont les implications?
Quel est le rapport avec le principe de la constance de la vitesse de
la lumière avancé par Einstein en 1905? On en discutera en France?
Non? Jamais? Pourquoi? Le problème est crucial et pour cette raison
n'existe pas? N'a jamais existé? C'est un nonproblème?

http://wikilivres.info/wiki/1984/Premi%C3%A8re_Partie/Chapitre_IV
George Owell: "Withers, cependant, était déjà un nonêtre. Il
n'existait pas, il n'avait jamais existé."

Pentcho Valev a écrit:

http://membres.multimania.fr/juvastro/calculs/einstein.pdf
"Le principe d'équivalence, un des fondements de base de la relativité
générale prédit que dans un champ gravitationnel, la lumière tombe
comme tout corps matériel selon l'acceleration de la pesanteur."

Les implications? Jean Eisenstaedt? Jean Marc Lévy-Leblond? Thibault
Damour? Etienne Klein? Les deux Cohen-Tannoudji? Michel Paty? Olivier
Darrigol? Marc Lachièze-Ray? Jean Michel Alimi? Françoise Balibar?
Michel Bitbol? Alain Aspect? Roger Balian? Alexandre Moatti? Alexandre
Afriat? Alexis de Saint-Ours? Elie During? Jean-Pierre Luminet? La
théorie de l'émission de Newton est fausse, toujours fausse, très
fausse, absolument fausse? Une autre implication? La vitesse de la
lumière dans un champ de gravitation est constante, toujours
constante, très constante, absolument constante? Une autre
implication? Aucune? On en discutera en France? Non? Jamais? Pourquoi?

http://adsabs.harvard.edu/abs/1994IJMPD...3..179E
Light and Gravitation: about MICHELL'S Theory
Eisenstaedt, Jean
International Journal of Modern Physics D, Volume 3, Issue 01, pp.
179-180 (1994).
"Through the reception of Michell's theory on the influence of
gravitation on the propagation of light, I shortly review the main
developments on the subject. It appears that Einstein was aware of the
idea of the bending of light in a Newtonian context."

Les implications, Jean Eisenstaedt? La vitesse de la lumière dans un
champ de gravitation? Constante? Variable? Quel est le rapport avec le
principe de la constance de la vitesse de la lumière avancé par
Einstein en 1905? On en discutera en France? Non? Jamais? Pourquoi?

Pentcho Valev
***@yahoo.com
Pentcho Valev
2011-05-16 06:59:23 UTC
Permalink
http://www.amazon.fr/EINSTEIN-si%C3%A8cle-contre-Alexandre-Moatti/dp/2738120075
EINSTEIN un siècle contre lui, par Alexandre Moatti
p. 45: "Le troisième test, le déplacement vers le rouge des fréquences
des raies du spectre lumimeux... (...) ...concerrne un effet nouveau,
non observé jusqu'alors. (...) Les Américains Pound et Rebka...
(...) ...donnent en 1960 les résultats de leur expérience remarquable.
(...) ...le décalage des fréquences d'arrivée par rapport à la
fréquence d'origine étant mesuré en pourcentage à 2GH/c^2 (H étant la
hauteur de la tour, et G la constante de la gravitation terrestre)..."

Vous mentez, Alexandre Moatti? 2GH/c^2 ou GH/c^2 ? Si Pound et Rebka
ont obtenu GH/c^2, alors c'est la théorie de l'émission de Newton qui
est confirmée (la relativité générale est réfutée). Alors? Pound et
Rebka ont obtenu quoi? 2GH/c^2 ou GH/c^2 ?

Pentcho Valev
***@yahoo.com
Pentcho Valev
2011-05-17 07:33:11 UTC
Permalink
http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1503
Alexandre Moatti: "L'étude des opposants à la théorie de la relativité
de 1905 à 2005 m'a amené à élargir le sujet au cours d'un séminaire
donné à l'EHESS de 2008 à 2010, intitulé « Une approche historique de
l'alterscience ». Sous ce terme, nous englobons diverses attitudes de
remise en cause des résultats de la science (par exemple, des
ingénieurs formulant des théories physiques ou cosmologiques
alternatives), ou d'utilisation d'arguments scientifiques à des fins
idéologiques, religieuses ou personnelles. Dans un cas comme dans
l'autre, des scientifiques (nous entendrons par ce terme des
chercheurs, autrefois appelés savants, ou des personnes formées à la
science, cest-à-dire à esprit scientifique dominant) sont amenés à
concevoir une science différente, une autre science, et à mobiliser
leurs connaissances scientifiques et leur capacité de raisonnement en
faveur de leurs théories alternatives ou de leur idéologie."

Alterscience au sein d'Einsteiniana:

Albert Einstein "La Relativité" 1920:
"...conformément à la théorie de la relativité générale, la loi déjà
souvent mentionnée de la constance de la vitesse de la lumière dans le
vide, qui est une des deux suppositions fondamentales de la relativité
restreinte, ne peut pas prétendre à une validité illimitée. En effet,
la courbure des rayons lumineux ne peut se produire que si la vitesse
de propagation de la lumière varie avec le lieu."

http://ustl1.univ-lille1.fr/culture/publication/lna/detail/lna40/pgs/4_5.pdf
Jean Eisenstaedt: "...il n'y a pas de raison, dans le cadre de la
logique des Principia de Newton, pour que la lumière se comporte
autrement - quant à sa trajectoire - qu'une particule matérielle. Il
n'y a pas non plus de raison pour que la lumière ne soit pas sensible
à la gravitation. Bref, pourquoi ne pas appliquer à la lumière toute
la théorie newtonienne ?"

http://www.arte.tv/fr/La-relativite-a-l-epreuve/856858.html
Jean Eisenstaedt: "Michell est persuadé de l'universalité de la
gravitation et que la lumière doit, comme tout autre corpuscule, y
être soumise. Il en déduit, en cette fin du XVIIIe siècle, qu'un
corpuscule lumineux, émis par une étoile animée d'une vitesse
constante, va être petit à petit freiné et sa vitesse diminuée. À tel
point que, si l'étoile est très massive, le corpuscule, telle une
pierre jetée en l'air, peut s'arrêter dans sa course et retomber sur
l'étoile. Aussi invente-t-il ces objets étranges que Pierre-Simon
Laplace nommera «corps obscurs» (car leur lumière ne peut nous en
parvenir) et qui s'apparentent aux trous noirs. En 1801, s'appuyant
sur ces résultats vulgarisés par Laplace, l'astronome allemand Georg
von Soldner en déduira qu'un rayon lumineux peut être dévié de sa
course s'il passe près d'un corps pesant. Ses résultats ne sont
aucunement différents de ceux d'Einstein, qui calculera le même effet
en 1911."

http://www.decitre.fr/livres/La-relativite.aspx/9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la
Science, Paris, 1999, pp. 166-169: "L'observateur au plafond
constatera que l'horloge du plancher fonctionne plus lentement que
celle du plafond. Et pourtant les deux horloges continuent à
fonctionner au même rythme. (.....) Le décalage gravitationnel des
fréquences n'est pas la conséquence d'un changement du rythme
intrinseque des horloges. Ce décalage resulte de L'EFFET DU CHAMP
GRAVITATIONNEL SUR LES SIGNAUX LUMINEUX qui se propagent dans l'espace-
temps. (...) Einstein fut sans aucun doute troublé par cette
conséquence de L'EFFET DE LA GRAVITATION SUR LA VITESSE DE LA LUMIERE,
mais il décida d'en tirer profit. Il déclara tout simplement que la
vitesse de la lumière jouait alors le rôle de ce que l'on appelle le
potentiel gravitationnel - un simple nombre en chaque point qui, dans
la théorie de Newton, spécifie l'intensité des forces
gravitationnelles dans tout l'espace."

http://www.physlink.com/Education/AskExperts/ae13.cfm
"So, it is absolutely true that the speed of light is not constant in
a gravitational field [which, by the equivalence principle, applies as
well to accelerating (non-inertial) frames of reference]."

http://www.univ-orleans.fr/amp/documents/article%20le%20monde%20Einstein.pdf
Jean Eisenstaedt: "A la fin du XVIIIe siècle, une conception classique
des corps en mouvement avait été proposée et aussitôt délaissée. Elle
consistait à traiter, en théorie de Newton, les corpuscules lumineux
de la même manière que les particules matérielles. Bien que la vitesse
de la lumière y soit variable, cette conception offre des résultats
étonnants, nombreux et qualitativement proches de ceux d'Einstein."

http://bernardschaeffer.canalblog.com/archives/2010/06/21/8512191.html
Bernard Schaeffer: "Einstein nous apprend aussi que la lumière est
constituée de photons d'énergie E=hv, donc de masse m=hv/c^2. Les
théoriciens "modernes" prétendent qu'un photon n'a pas de masse (sous-
entendu "au repos", un non-sens puisqu'on ne peut immobiliser un rayon
lumineux). C'est en contradiction avec la relativité générale où la
lumière est déviée par les étoiles."

http://membres.multimania.fr/juvastro/calculs/einstein.pdf
"Le principe d'équivalence, un des fondements de base de la relativité
générale prédit que dans un champ gravitationnel, la lumière tombe
comme tout corps matériel selon l'acceleration de la pesanteur."

LA VRAIE SCIENCE:

http://www.amazon.fr/gp/product/2738117228/ref=pd_rvi_gw_1/402-2668551-5396107
Alexandre Moatti (p. 140): "La théorie corpusculaire se heurtait
toutefois à une contradiction expérimentale de taille : elle
impliquait que la lumière fût non seulement déviée mais aussi ralentie
par un champ de gravitation (comme le serait un faisceau de
corpuscules), alors que toutes les mesures donnaient une constance de
la vitesse de la lumière, indépendante de la vitesse de la source, et
indépendante de toute masse gravitationnelle à côté de laquelle elle
passerait !"

http://www.amazon.ca/UNE-BR%C3%88VE-HISTOIRE-DU-TEMPS/dp/2290006459
Stephen Hawking: "En fait, il n'est pas très logique de traiter la
lumière comme on le fait des boulets de canon dans la théorie
newtonienne de la gravitation simplement parce que sa vitesse est
fixée. (Un boulet de canon tiré verticalement sera ralenti par la
gravité, s'arrêtera finalement et retombera; un photon, lui,
continuera sa course verticale à vitesse constante.)"

http://iramis.cea.fr/Phocea/file.php?class=ast&file=file_748_0_.pdf
Etienne Klein: "Souvent, le public se pose la question de savoir
comment des particules sans masse, tel le photon, peuvent exister.
(...) La théorie de la relativité rend cette existence possible, en
attribuant une énergie y compris aux particules sans masse. Seulement,
de tels objets ne peuvent pas connaître le repos. En effet, s'ils
étaient immobiles, leur inertie serait nulle et ils pourraient être
accélérés instantanément jusqu'à la vitesse limite, cest-à-dire
jusqu'à la vitesse de la lumière. Ce paradoxe disparaît si l'on admet
que de tels objets se déplacent toujours à la vitesse limite : ils ne
peuvent alors être ni accélérés ni ralentis, mais ils peuvent gagner
ou perdre de l'énergie sans que cela affecte leur vitesse."

http://helios.gsfc.nasa.gov/qa_sp_gr.html
"Is light affected by gravity? If so, how can the speed of light be
constant? Wouldn't the light coming off of the Sun be slower than the
light we make here? If not, why doesn't light escape a black hole?
Yes, light is affected by gravity, but not in its speed. General
Relativity (our best guess as to how the Universe works) gives two
effects of gravity on light. It can bend light (which includes effects
such as gravitational lensing), and it can change the energy of light.
But it changes the energy by shifting the frequency of the light
(gravitational redshift) not by changing light speed. Gravity bends
light by warping space so that what the light beam sees as "straight"
is not straight to an outside observer. The speed of light is still
constant." Dr. Eric Christian

Pentcho Valev
***@yahoo.com
Pentcho Valev
2011-05-18 07:05:27 UTC
Permalink
http://www.people.fas.harvard.edu/~djmorin/book.html
Introduction to Classical Mechanics With Problems and Solutions
David Morin, Cambridge University Press, Chapitre 14:

http://student.fizika.org/~jsisko/Knjige/Klasicna%20Mehanika/David%20Morin/CH13.PDF
David Morin (p. 4): "This GR time-dilation effect was first measured
at Harvard by Pound and Rebka in 1960. They sent gamma rays up a 20m
tower and measured the redshift (that is, the decrease in frequency)
at the top. This was a notable feat indeed, considering that they were
able to measure a frequency shift of GH/c^2 (which is only a few parts
in 10^15) to within 1% accuracy."

Alexandre Moatti? Honnêteté? C'était quoi? On discutera du problème
"2GH/c^2 ou GH/c^2 ?" en France? Non? Jamais? Pourquoi?

Pentcho Valev a écrit:

http://www.amazon.fr/EINSTEIN-si%C3%A8cle-contre-Alexandre-Moatti/dp/2738120075
EINSTEIN un siècle contre lui, par Alexandre Moatti
p. 45: "Le troisième test, le déplacement vers le rouge des fréquences
des raies du spectre lumimeux... (...) ...concerrne un effet nouveau,
non observé jusqu'alors. (...) Les Américains Pound et Rebka...
(...) ...donnent en 1960 les résultats de leur expérience remarquable.
(...) ...le décalage des fréquences d'arrivée par rapport à la
fréquence d'origine étant mesuré en pourcentage à 2GH/c^2 (H étant la
hauteur de la tour, et G la constante de la gravitation
terrestre)..."

Vous mentez, Alexandre Moatti? 2GH/c^2 ou GH/c^2 ? Si Pound et Rebka
ont obtenu GH/c^2, alors c'est la théorie de l'émission de Newton qui
est confirmée (la relativité générale est réfutée). Alors? Pound et
Rebka ont obtenu quoi? 2GH/c^2 ou GH/c^2 ?

Pentcho Valev
***@yahoo.com
Pentcho Valev
2011-05-27 06:28:12 UTC
Permalink
http://www.algerie-dz.com/forums/archive/index.php/t-166853.html
"Pour comprendre, il faut revenir à cet après-midi de mai 1907, dans
un bureau de l'Office fédéral de la propriété intellectuelle de Berne
(Suisse) où rêvasse l'"expert de deuxième classe" Albert Einstein
alors qu'il a ce qu'il appellera plus tard "l'idée la plus heureuse de
sa vie". Pour le profane, l'idée en question peut paraître d'une
parfaite trivialité. "Il s'imagine en train de tomber et il se rend
compte qu'en chute libre on ne sent plus son propre poids, explique
Etienne Klein. Ce qu'il entend par là, c'est que si vous tombez, votre
vitesse est accélérée par la gravité, mais les objets qui sont autour
de vous - votre parapluie, votre chapeau, votre portefeuille - tombent
comme vous. Donc, par rapport à vous, ils sont en apesanteur. Einstein
comprend que la chute libre annule localement la gravité." Le
physicien racontera plus tard à quel point cette idée, qui contient le
principe d'équivalence entre accélération et gravitation, va le
bouleverser et l'obséder."

Etienne Klein, est-ce que vous diriez:

"votre vitesse est accélérée par la gravité"

aux photons? Non? Jamais? Pourquoi? L'arrêtducrime toujours? Le cas
des photons est le seul cas où vous diriez "votre vitesse N'EST PAS
accélérée par la gravité"?

http://wikilivres.info/wiki/1984/Deuxi%C3%A8me_Partie_-_Chapitre_IX
George Orwell: "L'arrêtducrime, c'est la faculté de s'arrêter net,
comme par instinct, au seuil d'une pensée dangereuse. Il inclut le
pouvoir de ne pas saisir les analogies, de ne pas percevoir les
erreurs de logique, de ne pas comprendre les arguments les plus
simples, s'ils sont contre l'Angsoc. Il comprend aussi le pouvoir
d'éprouver de l'ennui ou du dégoût pour toute suite d'idées capable de
mener dans une direction hérétique. Arrêtducrime, en résumé, signifie
stupidité protectrice."

Pentcho Valev a écrit:

http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1503
Alexandre Moatti: "L'étude des opposants à la théorie de la relativité
de 1905 à 2005 m'a amené à élargir le sujet au cours d'un séminaire
donné à l'EHESS de 2008 à 2010, intitulé « Une approche historique de
l'alterscience ». Sous ce terme, nous englobons diverses attitudes de
remise en cause des résultats de la science (par exemple, des
ingénieurs formulant des théories physiques ou cosmologiques
alternatives), ou d'utilisation d'arguments scientifiques à des fins
idéologiques, religieuses ou personnelles. Dans un cas comme dans
l'autre, des scientifiques (nous entendrons par ce terme des
chercheurs, autrefois appelés savants, ou des personnes formées à la
science, cest-à-dire à esprit scientifique dominant) sont amenés à
concevoir une science différente, une autre science, et à mobiliser
leurs connaissances scientifiques et leur capacité de raisonnement en
faveur de leurs théories alternatives ou de leur idéologie."

Alterscience au sein d'Einsteiniana:

Albert Einstein "La Relativité" 1920:
"...conformément à la théorie de la relativité générale, la loi déjà
souvent mentionnée de la constance de la vitesse de la lumière dans le
vide, qui est une des deux suppositions fondamentales de la relativité
restreinte, ne peut pas prétendre à une validité illimitée. En effet,
la courbure des rayons lumineux ne peut se produire que si la vitesse
de propagation de la lumière varie avec le lieu."

http://ustl1.univ-lille1.fr/culture/publication/lna/detail/lna40/pgs/4_5.pdf
Jean Eisenstaedt: "...il n'y a pas de raison, dans le cadre de la
logique des Principia de Newton, pour que la lumière se comporte
autrement - quant à sa trajectoire - qu'une particule matérielle. Il
n'y a pas non plus de raison pour que la lumière ne soit pas sensible
à la gravitation. Bref, pourquoi ne pas appliquer à la lumière toute
la théorie newtonienne ?"

http://www.arte.tv/fr/La-relativite-a-l-epreuve/856858.html
Jean Eisenstaedt: "Michell est persuadé de l'universalité de la
gravitation et que la lumière doit, comme tout autre corpuscule, y
être soumise. Il en déduit, en cette fin du XVIIIe siècle, qu'un
corpuscule lumineux, émis par une étoile animée d'une vitesse
constante, va être petit à petit freiné et sa vitesse diminuée. À tel
point que, si l'étoile est très massive, le corpuscule, telle une
pierre jetée en l'air, peut s'arrêter dans sa course et retomber sur
l'étoile. Aussi invente-t-il ces objets étranges que Pierre-Simon
Laplace nommera «corps obscurs» (car leur lumière ne peut nous en
parvenir) et qui s'apparentent aux trous noirs. En 1801, s'appuyant
sur ces résultats vulgarisés par Laplace, l'astronome allemand Georg
von Soldner en déduira qu'un rayon lumineux peut être dévié de sa
course s'il passe près d'un corps pesant. Ses résultats ne sont
aucunement différents de ceux d'Einstein, qui calculera le même effet
en 1911."

http://www.decitre.fr/livres/La-relativite.aspx/9782842450199
Banesh Hoffmann, "La relativité, histoire d'une grande idée", Pour la
Science, Paris, 1999, pp. 166-169: "L'observateur au plafond
constatera que l'horloge du plancher fonctionne plus lentement que
celle du plafond. Et pourtant les deux horloges continuent à
fonctionner au même rythme. (.....) Le décalage gravitationnel des
fréquences n'est pas la conséquence d'un changement du rythme
intrinseque des horloges. Ce décalage resulte de L'EFFET DU CHAMP
GRAVITATIONNEL SUR LES SIGNAUX LUMINEUX qui se propagent dans l'espace-
temps. (...) Einstein fut sans aucun doute troublé par cette
conséquence de L'EFFET DE LA GRAVITATION SUR LA VITESSE DE LA LUMIERE,
mais il décida d'en tirer profit. Il déclara tout simplement que la
vitesse de la lumière jouait alors le rôle de ce que l'on appelle le
potentiel gravitationnel - un simple nombre en chaque point qui, dans
la théorie de Newton, spécifie l'intensité des forces
gravitationnelles dans tout l'espace."

http://www.physlink.com/Education/AskExperts/ae13.cfm
"So, it is absolutely true that the speed of light is not constant in
a gravitational field [which, by the equivalence principle, applies as
well to accelerating (non-inertial) frames of reference]."

http://www.univ-orleans.fr/amp/documents/article%20le%20monde%20Einstein.pdf
Jean Eisenstaedt: "A la fin du XVIIIe siècle, une conception classique
des corps en mouvement avait été proposée et aussitôt délaissée. Elle
consistait à traiter, en théorie de Newton, les corpuscules lumineux
de la même manière que les particules matérielles. Bien que la vitesse
de la lumière y soit variable, cette conception offre des résultats
étonnants, nombreux et qualitativement proches de ceux d'Einstein."

http://bernardschaeffer.canalblog.com/archives/2010/06/21/8512191.html
Bernard Schaeffer: "Einstein nous apprend aussi que la lumière est
constituée de photons d'énergie E=hv, donc de masse m=hv/c^2. Les
théoriciens "modernes" prétendent qu'un photon n'a pas de masse (sous-
entendu "au repos", un non-sens puisqu'on ne peut immobiliser un rayon
lumineux). C'est en contradiction avec la relativité générale où la
lumière est déviée par les étoiles."

http://membres.multimania.fr/juvastro/calculs/einstein.pdf
"Le principe d'équivalence, un des fondements de base de la relativité
générale prédit que dans un champ gravitationnel, la lumière tombe
comme tout corps matériel selon l'acceleration de la pesanteur."

LA VRAIE SCIENCE:

http://www.amazon.fr/gp/product/2738117228/ref=pd_rvi_gw_1/402-2668551-5396107
Alexandre Moatti (p. 140): "La théorie corpusculaire se heurtait
toutefois à une contradiction expérimentale de taille : elle
impliquait que la lumière fût non seulement déviée mais aussi ralentie
par un champ de gravitation (comme le serait un faisceau de
corpuscules), alors que toutes les mesures donnaient une constance de
la vitesse de la lumière, indépendante de la vitesse de la source, et
indépendante de toute masse gravitationnelle à côté de laquelle elle
passerait !"

http://www.amazon.ca/UNE-BR%C3%88VE-HISTOIRE-DU-TEMPS/dp/2290006459
Stephen Hawking: "En fait, il n'est pas très logique de traiter la
lumière comme on le fait des boulets de canon dans la théorie
newtonienne de la gravitation simplement parce que sa vitesse est
fixée. (Un boulet de canon tiré verticalement sera ralenti par la
gravité, s'arrêtera finalement et retombera; un photon, lui,
continuera sa course verticale à vitesse constante.)"

http://iramis.cea.fr/Phocea/file.php?class=ast&file=file_748_0_.pdf
Etienne Klein: "Souvent, le public se pose la question de savoir
comment des particules sans masse, tel le photon, peuvent exister.
(...) La théorie de la relativité rend cette existence possible, en
attribuant une énergie y compris aux particules sans masse. Seulement,
de tels objets ne peuvent pas connaître le repos. En effet, s'ils
étaient immobiles, leur inertie serait nulle et ils pourraient être
accélérés instantanément jusqu'à la vitesse limite, cest-à-dire
jusqu'à la vitesse de la lumière. Ce paradoxe disparaît si l'on admet
que de tels objets se déplacent toujours à la vitesse limite : ils ne
peuvent alors être ni accélérés ni ralentis, mais ils peuvent gagner
ou perdre de l'énergie sans que cela affecte leur vitesse."

http://helios.gsfc.nasa.gov/qa_sp_gr.html
"Is light affected by gravity? If so, how can the speed of light be
constant? Wouldn't the light coming off of the Sun be slower than the
light we make here? If not, why doesn't light escape a black hole?
Yes, light is affected by gravity, but not in its speed. General
Relativity (our best guess as to how the Universe works) gives two
effects of gravity on light. It can bend light (which includes effects
such as gravitational lensing), and it can change the energy of light.
But it changes the energy by shifting the frequency of the light
(gravitational redshift) not by changing light speed. Gravity bends
light by warping space so that what the light beam sees as "straight"
is not straight to an outside observer. The speed of light is still
constant." Dr. Eric Christian

Pentcho Valev
***@yahoo.com
Pentcho Valev
2011-06-11 12:16:52 UTC
Permalink
http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1612
Jean-Claude Pecker, janvier 2011: "Or une découverte importante
(capitale même aux yeux de l'auteur de ces lignes) est celle des «
redshifts anormaux », due à Halton Arp. Depuis 1972, Arp a publié des
dizaines d'exemples d'un phénomène remarquable : la fréquente
association physique de deux objets, une galaxie normale de petit
décalage spectral, et un quasar de grand décalage spectral. Cette
association est démontrée non seulement par leurs positions apparentes
proches dans le ciel, mais par des bras de matière les séparant. Cette
découverte a été complètement occultée par la majorité des
cosmologistes. Ne met-elle pas en doute l'interprétation du décalage
spectral par un effet Doppler ? Deux objets sont à la même distance de
nous, l’expansion devrait donc les entraîner à la même vitesse, et ils
devraient être affectés du même décalage spectral - du même « redshift
». La découverte de Arp impliquerait plutôt que les quasars soient
éjectés par les galaxies, et que le modèle classique de leur physique
(décrit ci-dessus) doit être révisé. Quelle que soit la cause physique
du décalage spectral des quasars, ce n'est pas l'effet Doppler-
Fizeau ! La découverte de ces « redshifts anormaux » a été confortée
par l'observation, au voisinage du Soleil, de phénomènes divers
étudiés par Pecker, Vigier et leurs collaborateurs. Dans le même sens
vont la découverte par Tifft puis par Napier et Guthrie de
périodicités fines dans la distribution des redshifts de galaxies
appartenant à un même amas de galaxies, et celle par Karlsson, puis
Depaquit et al, de périodicités plus grandes dans l'ensemble des
quasars observés. Malgré cette accumulation de faits, l'existence des
redshifts anormaux n'est toujours pas acceptée par les cosmologistes
du Big Bang."

Aucune discussion en France? Incroyable! Encore une fois:

"...association physique de deux objets, une galaxie normale de petit
décalage spectral, et un quasar de grand décalage spectral..."

Aucune pensée ne surgit? L'arrêtducrime semble absolu:

http://wikilivres.info/wiki/1984/Deuxi%C3%A8me_Partie_-_Chapitre_IX
George Orwell: "L'arrêtducrime, c'est la faculté de s'arrêter net,
comme par instinct, au seuil d'une pensée dangereuse. Il inclut le
pouvoir de ne pas saisir les analogies, de ne pas percevoir les
erreurs de logique, de ne pas comprendre les arguments les plus
simples, s'ils sont contre l'Angsoc. Il comprend aussi le pouvoir
d'éprouver de l'ennui ou du dégoût pour toute suite d'idées capable de
mener dans une direction hérétique. Arrêtducrime, en résumé, signifie
stupidité protectrice."

Une explication possible: Si la masse du quasar est très grande, la
vitesse de la lumière venant de lui est très diminuée:

http://www.arte.tv/fr/La-relativite-a-l-epreuve/856858.html
Jean Eisenstaedt: "Michell est persuadé de l'universalité de la
gravitation et que la lumière doit, comme tout autre corpuscule, y
être soumise. Il en déduit, en cette fin du XVIIIe siècle, qu'un
corpuscule lumineux, émis par une étoile animée d'une vitesse
constante, va être petit à petit freiné et sa vitesse diminuée."

http://membres.multimania.fr/juvastro/calculs/einstein.pdf
"Le principe d'équivalence, un des fondements de base de la relativité
générale prédit que dans un champ gravitationnel, la lumière tombe
comme tout corps matériel selon l'acceleration de la pesanteur."

http://www.physlink.com/Education/AskExperts/ae13.cfm
"So, it is absolutely true that the speed of light is not constant in
a gravitational field [which, by the equivalence principle, applies as
well to accelerating (non-inertial) frames of reference]."

Pentcho Valev
***@yahoo.com
Pentcho Valev
2011-06-12 12:12:11 UTC
Permalink
L'explication idiote de Salpeter et Zeldovich devenue "un
paradigme" (et qu'on doit accepter si la pensée supposant une
variation de la vitesse de la lumière dans un champ de gravitation est
interdite par l'arrêtducrime, bien que cette variation soit établie
même par la relativité générale d'Einstein):

http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1613
Suzy Collin-Zahn: "Ne fallait-il donc pas mettre en doute
l'interprétation du décalage spectral par un effet Doppler ? Un
certain nombre d'astronomes - en particulier tous ceux qui croyaient à
l'Univers stationnaire ou statique - proposèrent donc que les quasars
n'étaient pas situés à leur distance cosmologique, mais qu'ils étaient
beaucoup plus proches et que leur redshift était dû à une cause
physique encore inconnue, telle que la fatigue de la lumière déjà
mentionnée. Ce fut « la controverse des redshifts anormaux » qui
battit son plein pendant une dizaine d'années, car on n'avait pas
encore trouvé les explications de certains paradoxes que posaient les
quasars. Pourtant, deux grands astrophysiciens, l'américain Salpeter
et le russe Zeldovich, avaient proposé indépendamment, peu après la
découverte des premiers quasars, qu'il devait s'agir de « trous noirs
géants » attirant la matière environnante. Elle rayonne alors une
fraction importante de son énergie de repos juste avant de franchir «
l'horizon » du trou noir. La puissance rayonnée, de même que la taille
de ces trous noirs, étaient tout à fait comparables à celles des
quasars, en les supposant à leur distance cosmologique. Cette théorie
ne fut réellement acceptée par la communauté astronomique qu'à la fin
des années 1970 (en particulier grâce à la découverte d'autres astres
étranges, les pulsars). Des preuves convaincantes de l'existence de
tels trous noirs ont été données depuis, en particulier avec
l'observation d'un trou noir géant au centre de la Voie Lactée. Et
c'est devenu maintenant un paradigme de dire que la puissance des
quasars est due à « l'accrétion sur un trou noir supermassif »."

Pentcho Valev a écrit:

http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1612
Jean-Claude Pecker, janvier 2011: "Or une découverte importante
(capitale même aux yeux de l'auteur de ces lignes) est celle des «
redshifts anormaux », due à Halton Arp. Depuis 1972, Arp a publié des
dizaines d'exemples d'un phénomène remarquable : la fréquente
association physique de deux objets, une galaxie normale de petit
décalage spectral, et un quasar de grand décalage spectral. Cette
association est démontrée non seulement par leurs positions apparentes
proches dans le ciel, mais par des bras de matière les séparant. Cette
découverte a été complètement occultée par la majorité des
cosmologistes. Ne met-elle pas en doute l'interprétation du décalage
spectral par un effet Doppler ? Deux objets sont à la même distance de
nous, lexpansion devrait donc les entraîner à la même vitesse, et ils
devraient être affectés du même décalage spectral - du même « redshift
». La découverte de Arp impliquerait plutôt que les quasars soient
éjectés par les galaxies, et que le modèle classique de leur physique
(décrit ci-dessus) doit être révisé. Quelle que soit la cause physique
du décalage spectral des quasars, ce n'est pas l'effet Doppler-
Fizeau ! La découverte de ces « redshifts anormaux » a été confortée
par l'observation, au voisinage du Soleil, de phénomènes divers
étudiés par Pecker, Vigier et leurs collaborateurs. Dans le même sens
vont la découverte par Tifft puis par Napier et Guthrie de
périodicités fines dans la distribution des redshifts de galaxies
appartenant à un même amas de galaxies, et celle par Karlsson, puis
Depaquit et al, de périodicités plus grandes dans l'ensemble des
quasars observés. Malgré cette accumulation de faits, l'existence des
redshifts anormaux n'est toujours pas acceptée par les cosmologistes
du Big Bang."

Aucune discussion en France? Incroyable! Encore une fois:

"...association physique de deux objets, une galaxie normale de petit
décalage spectral, et un quasar de grand décalage spectral..."

Aucune pensée ne surgit? L'arrêtducrime semble absolu:

http://wikilivres.info/wiki/1984/Deuxi%C3%A8me_Partie_-_Chapitre_IX
George Orwell: "L'arrêtducrime, c'est la faculté de s'arrêter net,
comme par instinct, au seuil d'une pensée dangereuse. Il inclut le
pouvoir de ne pas saisir les analogies, de ne pas percevoir les
erreurs de logique, de ne pas comprendre les arguments les plus
simples, s'ils sont contre l'Angsoc. Il comprend aussi le pouvoir
d'éprouver de l'ennui ou du dégoût pour toute suite d'idées capable de
mener dans une direction hérétique. Arrêtducrime, en résumé, signifie
stupidité protectrice."

Une explication possible: Si la masse du quasar est très grande, la
vitesse de la lumière venant de lui est très diminuée:

http://www.arte.tv/fr/La-relativite-a-l-epreuve/856858.html
Jean Eisenstaedt: "Michell est persuadé de l'universalité de la
gravitation et que la lumière doit, comme tout autre corpuscule, y
être soumise. Il en déduit, en cette fin du XVIIIe siècle, qu'un
corpuscule lumineux, émis par une étoile animée d'une vitesse
constante, va être petit à petit freiné et sa vitesse diminuée."

http://membres.multimania.fr/juvastro/calculs/einstein.pdf
"Le principe d'équivalence, un des fondements de base de la relativité
générale prédit que dans un champ gravitationnel, la lumière tombe
comme tout corps matériel selon l'acceleration de la pesanteur."

http://www.physlink.com/Education/AskExperts/ae13.cfm
"So, it is absolutely true that the speed of light is not constant in
a gravitational field [which, by the equivalence principle, applies as
well to accelerating (non-inertial) frames of reference]."

Pentcho Valev
***@yahoo.com

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